20.2.11

Une Saint-Valentin sombre

Lundi c'était la fête des amoureux.
En revenant à la maison, je dis à l'homme «Je mangerais bien de l'indien».

Pour notre première S-V, l'homme avait bravé la tempête du siècle en Estrie pour venir me rejoindre à Montréal.
Nous avions mangé de l'indien...

Nous avons donc mis les pieds dans le temple jaune à 17 h 10.
C'est çà avoir un enfant, on mange tôt!
La serveuse nous informe que le service débutera à 17 h 30.
(Est-ce qu'on a le choix?).

Parle, parle, ramasse le riz sur le tapis, on quitte le bedon tout rond.
C'est en arrivant aux 4 flashers que le mal a frappé.
«Shit, on a pas d'électricité».

Au lieu de pleurer notre peine, nous avons sorti les lampes frontales pour faire du camping dans la chambre d'Alice.























La petite était toute énarvée.
Nous avons sûrement passé tous les livres Martine en 15 minutes.

Le comble du bonheur, c'est quand j'ai dévoilé mes surprises : une belle carte et des macarons de toutes les couleurs.























Un pur bonheur finalement!

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